Pour ceux qui ont déjà fait de la chute libre, vous devez savoir quel plaisir c'est de se prendre pour un oiseau lors d'un track ou chacun dérive sur le ventre et tente de rattraper le "lapin" qui lui, dérive sur le dos.
Cette sensation peut être démultipliée grâce à l'emploi d'une combinaison ailée, appelée Wingsuit. Le flux d'air autour de la combinaison crée la portance qui permet au parachutiste de voler au lieu de chuter.
Cocorico, en la matière, le français Loïc Jean-Albert est l'un des meilleurs. C'est lui qui a popularisé cette discipline en la portant à la connaissance du grand public français lors de son mythique passage à 2 mètres du sol à Verbier en 2003, puis quelques jours après au Mont-Blanc.
Voici quelques chiffres :
- Pour faire de la Wingsuit, il est recommandé d'avoir environ au moins 250/300 sauts d'avion en chute traditionnelle
- La finesse peut atteindre 2,5
- Le taux de chute est de 100 km/h
- En sautant d'un avion à 4000m, il est possible de parcourir jusqu'à 7 km en distance sol
Parallèlement au développement des Wingsuits, on peut remarquer d'autres techniques proches mais beaucoup plus marginales et plus exclusives :
- Aile rigide équipée de petits réacteurs (jetman.ch)
- Jetpack, le sac à dos au péroxyde d'hydrogène (jetpackinternational.com)
Avis aux amateurs ...
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